Félix Lebrun réussit en entrée

Félix Lebrun réussit en entrée

Nico Par Nico

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Félix Lebrun n’a pas tremblé pour son entrée en lice au Grand Smash de Singapour. Opposé au gaucher égyptien Youssef Abdelaziz (64e mondial), le jeune prodige français s’est imposé en trois sets (12-10, 17-15, 11-5), confirmant ainsi son statut de favori dans cette compétition prestigieuse du circuit World Table Tennis (WTT).

𝐒𝐢𝐧𝐠𝐚𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐒𝐦𝐚𝐬𝐡 🏆

Entrée en lice réussie pour Félix Lebrun qui s’impose 3-0 face à Abdelaziz 🏓#SingaporeSmash pic.twitter.com/BBxKbc6MJe

— Fédération Française de Tennis de Table (@ffttofficiel) February 2, 2025

Une victoire maîtrisée

Après une trêve hivernale bien méritée, le numéro 5 mondial retrouvait le chemin de la compétition avec des attentes élevées. Dès les premiers échanges, l’Égyptien s’est montré accrocheur, poussant Lebrun à puiser dans ses ressources. Les deux premiers sets ont été particulièrement disputés, le Français devant batailler pour arracher le gain des manches 12-10 et 17-15.

Mais une fois ces rounds accrochés remportés, la machine Lebrun s’est mise en route. Dans un troisième set à sens unique (11-5), il a accéléré le jeu, imposant sa vitesse et sa précision pour conclure la rencontre en trois manches sèches.

Un début de saison clé pour Félix Lebrun

À seulement 18 ans, Félix Lebrun est attendu au tournant dans cette saison qui pourrait bien marquer sa consécration au plus haut niveau. Après son triomphe à domicile au WTT Champions de Montpellier en octobre dernier, il doit désormais confirmer sur les grandes scènes internationales.

Engagé dans une partie de tableau relevée, il pourrait croiser le numéro 1 mondial chinois Wang Chuqin plus tard dans le tournoi. Mais avant cela, il devra d’abord franchir un nouveau cap face au Taïwanais Kao Cheng-Jui, son adversaire au deuxième tour.

En parallèle, le « petit prince » du tennis de table français sera aussi au rendez-vous du double avec son frère Alexis, mercredi. Une opportunité supplémentaire de briller sous les projecteurs et de marquer encore un peu plus l’histoire du ping français.